Il y a eu un couac hier sur le blog… Je ne sais par quel moyen, mais un brouillon d’article est parti tout seul.. je tiens à m’excuser pour l’incompréhension que cela a pu occasionner. Certains d’entre vous d’ailleurs, et ça m’a bien fait rire, m’ont fait remarquer que la cure de jus avait peut être altéré mon sens de l’écriture.. ?? !! Sourires ! (clin d’oeil)
Cela doit donc être une opération du Saint Esprit qui venait me rappeler qu’il était temps d’écrire cet article ! Alors oui, c’est un bon jour.
Cela fait un mois que j’ai terminé la cure de jus de 92 jours. Et à dire vrai, ce “4ème” mois de cure – car ce mois de reprise alimentaire fait véritablement partie du processus en tant que tel selon moi – aura été pour moi le plus problématique.
Alors, à nouveau je tiens à préciser que je ne relate ici aucune vérité au sens large, uniquement mon expérience, mon témoignage, de ce que j’ai vécu, de mes observations, et je m’en tiens là.
Tout d’abord, quelque chiffres :
– financièrement, cela aura coûté 1690 pour ma cure de 3 mois et celle de Jean de 2 mois, donc un coût par mois et par personne de 340 euros, tout bio. Et on ne s’est pas privé.
– 92 jours de jus + 1 mois de reprise alimentaire : 64 kg au départ, 54 à l’arrivée des jus, à ce jour, 60 (dont 3kg d’oedème et 1kg de caca, je pense )
– je n’ai pas perdu mon humour pipi-caca : tout va bien, je n’ai pas trop changé en fin de compte !
Réellement, là où je me suis plantée et en beauté, c’est sur la reprise alimentaire. Je n’avais pas mesuré l’ampleur de la tâche. On me l’avait dit, mais je n’y avais pas prêté attention, toute euphorique que j’étais sur les jus et en plein boost de confiance en moi. Il faut dire aussi que je ne m’étais que très peu documentée (très peu, c’est à dire.. casi pas du tout!) et là, ces derniers jours qui viennent de passer où j’ai pris du temps pour consulter des livres sur le sujet et essayer de comprendre mieux ce qui se passe, je prend la mesure de ma… naïveté? inconscience? ignorance? bêtise? arrogance? curiosité? goût de l’aventure? Car oui, ( nouveau clin d’oeil )
“Tous les grands explorateurs se sont fait des égratignures durant leurs périples
mais ils ont vécu pleinement!!”
Ben oui je suis entière, je vis pleinement, je découvre, et je me lance corps et âme. C’est à fond ou pas du tout, je suis comme ça!! “Cure de jus de 3 mois?” OUI, je prends tout de même le temps de me le mûrir pendant quelques mois, puis je me lance dans l’aventure, sans savoir vraiment où je mets les pieds!! J’aime l’aventure. J’aime le voyage. J’aime découvrir. Me voilà servie!! En même temps, peut on jamais savoir à l’avance?
Concrètement, la rupture de cure et les dix premiers jours se sont bien passés. Pour préparer la rupture, j’avais un peu craqué : des mangues mûres à point et chères à point (aaah! les mangues), une papaye non bio du Brésil à 8 euros (aaah! le Brésil), une pastèque non bio du Costa Rica à 8 euros (aaah ! le Costa Rica), des myrtilles (aaah! les Vosges), bref, à fond dans l’émotionnel. J’aurais dû sentir venir mon affaire! J’avais aussi acheté des melons d’Espagne, des kakis, des chirimoyas, des bananes plantains. Bref, j’avais des fruits murs à souhait. Et un stock de cocos fraîches. C’est parti !
Le premier jour, j’ai tourné aux jus toute la journée, et le soir, j’ai tenté un smoothie (jus de pomme mixé avec mâche, ananas, myrtilles) qui n’est pas passé, donc je l’ai laissé et j’ai juste mangé quelques myrtilles avec un jus. Le lendemain, jus, myrtille, une tranche de pastèque. Et ainsi de suite. Tranquillement. S’en est suivi un Sejour Detox semaines de stage détox organisé par Cilou Crusine Académie et moi même en 2013 et 2014), stage au cours duquel j’ai mangé de la choucroute crue à mi parcours (un régal – je crois que le côté lacto-fermenté a plu à mes intestins), du tartare d’algues (aaah.. la stimulation.. Pour info, pendant 10 jours consécutifs, j’ai mangé du tartare d’algues fait maison quotidiennement! Comme quoi, il y avait un fort besoin de stimulation). Bref, pendant une dizaine de jours, tout bien.
Côté physique, les selles étaient plutôt type diarrhée (5-6 selles par jour, pas moulées), et des pets à faire fuir la foule (si, si!). Inconfort fréquent au niveau intestinal, et souvent le ventre d’une femme enceinte après les repas. J’ai fini par aller me refaire faire une hydro au bout de 2 semaines car j’avais l’impression d’avoir un rat mort dans le ventre. Littéralement. L’hydro a fait merveille, et cela allait bien mieux après. C’est un peu comme si le corps avait besoin de solide pour continuer le nettoyage au bout d’un moment et que les jus ne suffisaient plus. Comme si la digestion avait relancé le nettoyage et l’élimination, et le corps en profitait pour évacuer ce qui avait été nettoyé. Je me sentais globalement fatiguée : reprise digestive énergivore? diarrhée? après coup de 3 mois de jus? J’avais mal aux dents, je me sentais moyen… Les semaines à suivre n’allaient pas m’aider à remonter la pente! Voyez plutôt !
S’en sont suivies 2 semaines délicates : les vacances scolaires. Du monde à la maison tout le temps. Du travail. De la cuisine (du cru, élaboré, des mélanges, du gras, les papilles s’émoustillent). Tout à gérer. Du mal à me poser et profiter des invités. Peu de repos. Peu d’écoute de soi. Et une course (16 km) que j’ai tenu à faire malgré mes hésitations… (mental à la con, quand tu nous tiens! Bon OK j’étais bien contente de franchir la ligne d’arrivée.. et prévois de me réinscrire l’an prochain !) J’ai tout de même eu une excellente récupération sans courbature, mais une énergie tout de même limitée lors de la course, je n’en avais pas autant sous le champignon après 3 mois de jus qu’en temps “normal”.
Fatigue, grosse fatigue, incompréhension de ce qui arrive, humeurs changeantes, tentations, émotions débordantes, tension à 8-4, dans les choux Johanne. Et là ? Dérapage sur les dattes (il parait que c’est fréquent!). Poisson cru. Stimulation. Plats cuits. Viande. Chocolatine. Café au lait… J’en passe et des meilleures! (je laisse votre imagination… imaginer!) Déséquilibre et conflits intérieurs entre “ce qui est sain pour moi de manger” et ce que “ma fausse faim” m’amène à manger. Je n’arrive plus à distinguer ce dont j’ai envie, de ce dont j’ai besoin, de ce sur quoi j’ai des pulsions, de ce qui me fait plaisir. Je ne sais plus quoi manger au final. Un vrai cauchemar. Et ça se traduit par des nuits de fièvre à tremper le pyj’, des douleurs type courbatures-grippe, le moral dans les chaussettes, pas d’énergie, je dors mal, etc…
Une chose à noter aussi, c’est que j’ai de tout temps eu des cycles menstruels hyper réguliers naturellement, et je devais avoir mon cycle en fin de cure, fin mars, début avril. Il n’est pas venu. Tiens. Bizarre. C’est juste hyper rare. Et celui qui aurait dû suivre donc il y a quelques jours, non plus. Moi qui voyait cela comme un signe de gros dérèglement hormonal suite à la cure de jus, me voilà rassurée (grâce à mes lectures des ces jours derniers) Je cite Mosséri : “Une femme en parfaite santé n’a pas de règles, comme les femelles sauvages dans la nature. Cela ne l’empêche pas d’avoir une ovulation mensuelle imperceptible et même des enfants. Mais comme la majorité des femmes sont mal portantes, elles doivent éliminer tous les mois, à l’aide des menstruations.” Loin de moi l’idée de penser que je suis en bonne santé, mais je n’avais jamais lu cette information que je trouve intéressante et que je voulais partager… A creuser.
Ce furent donc quelques jours de flou, de hauts et bas, émotionnellement, spirituellement, mentalement, comestiblement. Là où j’avais placé ma foi (voir l’article detox spirituelle) et me sentais en sécurité, je venais à douter terriblement. Là où j’étais en confiance, le doute s’insérait aussi. Là où je pensais avoir des certitudes fortes tout s’effondrait dans la pratique. C’est terrible de vivre ça. Comme une agonie. Et en même temps, je sais que la chenille, avant de devenir papillon, souffre de sortir de son cocon. C’est loin d’être une partie de plaisir. J’espère juste que le papillon est proche!!
J’ai parfois tendance à voir le verre à moitié vide et tout va mal, je remets tout en cause, je dénie absolument tout, je dramatise, et quelques heures après, “l’aveugle recouvre la vue” (comme l’expression dans l’un de mes précédents articles) et je prends la pleine mesure du verre à moitié plein, des bienfaits de cette expériences et de comment elle me permet de grandir un peu plus, de me connaître un peu plus. Je pense que ce processus nous est commun à tous. C’est fatigant et en même temps très réjouissant.
Mes conclusions, à ce jour (qui peuvent être différentes dans 3 mois, je pense qu’un mois de recul sur 3 mois de cure de jus, ça reste peu ) :
– ACHTUNG avec la reprise alimentaire !!! No comment. Il me tarde de refaire l’expérience pour vivre différemment la reprise. L’hiver prochain peut être.
– je n’en peux plus des mélanges, même en cru : je fonctionne parfaitement sur des repas en mono aliments. Plus c’est simple, plus c’est optimal pour moi. Mais simple n’est pas facile. A méditer.
– il est important de mâcher et de manger lentement
– associer plus de temps de repos, de détente, de farniente au sens “ne rien faire”, pendant une cure.
Cette dernière je la dois notamment à l’un des stagiaires de la session d’avril de séjour detox (comme quoi en stage, les stagiaires apprennent beaucoup, mais moi aussi avec, tout le temps! – merci -), j’ai pris pleinement conscience que tant que je ne ralentirai pas dans ma tête, ça ne ralentira pas autour de moi. Et cette notion de ralentir, qu’il est temps que je mette en place dans ma vie en général, prend encore plus son sens quand on est en cure selon moi. Et ce n’était vraiment pas mon cas.
Pour la petite histoire, je ne cesse de dire depuis un bon moment déjà que le temps file à une vitesse ahurissante. Je me console dans les théories “nouvel âge” qui disent qu’une journée de 24 heures d’avant équivaut actuellement à 16 ou 17 heures (tu m’étonnes que ça va vite!!). Je suis tout le temps à fond. Speed. Jamais je ne me pose. Bon, c’est aussi mon tempérament, il y a des natures plus speed et dans l’action que d’autres qui affectionnent le canapé, certes. Et c’est souvent une qualité, un atout, j’en ai conscience. Mais aussi, par moment, ça devient problématique. Obsessionnel. Déséquilibré. Ca n’arrête pas, je n’arrive pas à ralentir, littéralement. Et nos récents choix de vie me font sentir qu’il est plus que temps que je ralentisse sérieusement.
A titre personnel, après ma phase “jamais je conseillerai cette cure à qui que ce soit”, me voilà repartie… Les cures de 10 jours ont toujours fonctionné à merveille, me permettant de mettre en place des modifications véritables dans mon hygiène de vie. Là, c’est plus complexe à dire (trop tôt encore peut être?).
Je réalise cependant à quel point cette cure m’a été bénéfique en terme de nettoyage, d’élimination, de communion avec plus grand que moi, de joie, d’introspection. J’envisage bien évidemment de poursuivre ce processus “detox” ainsi que mes expérimentations et pour varier les plaisirs, je compte mettre en place plusieurs choses :
– un jeûne hebdomadaire à l’eau, mais cette fois, un vrai jeûne hygiéniste, dans le sens… sous la couette, sans bouquin, sans travailler, sans parler, sans ordi, sans rien! Just me, myself and I. Et j’espère pouvoir m’y tenir.
– un jour de jus hebdomadaire
– du jeûne alterné : depuis que j’ai appris cette technique en formation avec Thierry, ça m’a parlé de suite (le Rational Fasting d’Arnold Ehret): alterner jus, eau, mono diète de fruits, au rythme que l’on veut. 2 jours de jus, 1 jour à l’eau, 3 jours de jus, 2 jours de pastèque, 2 jours à l’eau, 1 jour de jus, 2 jours à l’eau, 3 jours de mangues, 2 jours à l’eau, 4 jours de jus… et ainsi de suite. Là je pense qu’il y a du potentiel (et cette fois, je lirai le livre… avant!!! Just in case !)
Rien ne change. Et tout change. L’impermanence de la vie est partout… clin d’oeil
Beau mois de Mai à vous,
Faites ce qu’il vous plait,
Et soyez heureux.
Avec tout mon amour,
Johanne
13 Commentaires
Bonjour Johanne et merci. J’attendais avec impatience de tes nouvelles. Ta cure me semble parfaite dans la mesure ou tu remets à sa juste place ces petites choses qui te dérangeaient. Il y a un effet miroir merveilleux. Il faut agir avec son ressenti il n’y a aucun doute. Cette cure est comme un filtre et il reste le non résolu. Tu as fais là un beau voyage qui te portera encore. Merci et profite bien de ce joli moi de mai qui nous remplit de bonheur.
Bonjour Johanne,
tu m as semblé pleine de paix et de sérénité sur la vidéo du Q.R.
Ce serait donc un bénéfice de cette cure fait pour durer et durer . . . chouette !
Un grand merci pour ton encouragement,
et surtout pour m avoir fait porter le regard sur le coté
” belle expérience à déguster “,
ça m a aidé et a m aide pour ne pas quitter cette vision,
ou y revenir bien vite,
lorsque certaines choses se font plus lentement,
ou que l envie de passer à autre chose se fait sentir . . .
et, je ne sait pas si c est un bienfait de cette cure,
de ce nettoyage en x dimensions,
detox en 3 ou 4 D, mais je note une faculté à accepter le temps qui passent,
et notamment le moment présent que je n avais pas comme ça au début de cette cure !
le bio intestinal qui se purifie ?
avec les neurotransmetteurs plus clean, du même coup ?
questions en l air, car l essentiel est de le constater,
et de le vivre chaque jour un peu plus . . .
Et je retiens pour cet été, le code d accès pour la suite, et
je partirais faire ma transition avec ces 2 mots clefs :
mono aliments
et douceur
Merci de nous avoir fait partager ton chemin en tête de cordée . . .
C est un grand plaisir de venir y puiser un partage
quand on y est soi même !
Encourageant ! Très encourageant . . .
bonne continuation
et au plaisir de te lire dans la suite de ton cheminement . . .
je t embrasse,
Tania
Merci Tania pour tes bons mots.
Ca me fait sourire de me penser en tête de cordée, j’ai plutôt une impression d’essuyer des plâtres!!
Vraiment, je réitère : mono aliments, mono aliments!! La cure a été un super passage, le retour plus douloureux c’est vrai, mais globalement, c’est hyper régénérant!! Les intestins qui se nettoient, et c’est tout le psyché qui se modifie, effectivement !! c’est assez incroyable, et il faut le vivre pour le croire, n’est ce pas? et dès lors qu’on y a goûté, on a envie de poursuivre pour découvrir ce plein potentiel qui nous attend… Comme si tout est plus “précis”. Cela m’enchante de te savoir sur ce chemin!! Et je pense à toi sur le trampo !!!
Je t’embrasse très fort – au plaisir
Merci pour ce témoignage et cette expérience qui semble aussi imprévisible que surprenante que riche en émotions et en ressentis !
Bon courage pour la suite.
Paraît-il que la méditation est une très bonne méthode pour apaiser l’esprit tout en gardant un quotidien bien rempli et plein d’énergie.
J’ai admis le concept, mais c’est vraiment difficile de s’y astreindre. C’est pourtant bien cela qui verra les effets nous changer…
Bises,
Fanny
Bonjour Fanny, Merci pour ton message. Effectivement, la méditation est une excellent outil, jusqu’à présent mon côté speed luttait contre cet apaisement. Comme tu le dis difficile de s’y astreindre parfois. La bonne nouvelle je crois que justement tous ces évènements d’avril m’ont apporté un leçon riche d’enseignement : Douceur avant tout. Et d’un coup… tout ralentit et je ne perds pas en “rapidité”, magnifique! Belle fin de semaine à toi, bises, Johanne
Bonjour Johanne,
Merci de ton partage,
je me suis mise en route dans l aventure, J 25,
mais déjà, vu que je serais en vadrouille en voiture,
et pas d extracteur, un peu après du J 92,
je suis très intéressée par cette reprise alimentaire,
l as tu faite avec ses pruneaux, comme il est question dans le livre ?
je pensais la vivre . . . à la pastèque,
très pratique en vacances voiture . . .
Que pourrais tu me dire la dessus ( et sur les pruneaux pour toi ? )
car à 300 à 500 gr par jour sur une dizaine de jours, ça fait pas loin du 5 kg !
je te souhaite une belle journée
et grand grand merci pour ton témoignage,
je t embrasse,
Tania
Bonjour Tania,
A chacun de ressentir ce qui est bon ou non, les pruneaux, difficile d’en trouver en qualité crue donc j’ai zappé cela et ça ne me disait pas du tout, chacun fait à sa manière et c’est aussi cela qui fait de si belles expériences. Tu me raconteras j’espère. Belle continuation à toi, c’est magnifique ce que tu vis, profite en bien. Pour moi, la clé de la reprise, c’est le mono aliment, et la douceur. Bises, Johanne
oulala il faut te suivre !
merci Johanne pour ce partage de tes expériences terrestres ! j apprends en te lisant
Tiens et si tu nous faisais une seule phrase ZEN pour résumer tout ça ?
exercice hors stage ça te tenterait ?
En tout cas je te souhaite d être comblée et nourrit de paix et de joie !!
car tu as un cœur en or belle amie ! et de fortes qualités tout est ds ton camp !
a jeudi” without speed !”
bises
eve
Merci Eve, ça me tente ton exercice, je vais résumer tout ça oui, pour ce week end zen attitude et pas de speed YES. Juste profiter de la vie, des amis, de la nature. Je t’embrasse fort, merci pour ton soutien!
Bravo Johanne!
La rescapée du festins de jus de 3 mois! LOL
Mais en fait tout est juste et j’ai souvent entendu parler de cette periode rebonds et moi meme l’ai vecu aussi!
Comme si le corps avait besoin de solide pour repartir en detox et des fois je sors aussi du cadre physio (poisson crue etc…..)
Merci pour ton authenticité et jolie mois de Mai à toi aussi bisous
Coucou Livia, merci de ton message, c’est vrai que l’expérience propre nous enseigne et nous apprend de précieuses leçons. Tu parles de périodes rebonds, j’ai l’image de Tigrou qui saute joyeusement partout !
Etre authentique à travers ces articles est pour moi capital : le témoignage perdrait toute sa valeur et ça sert à rien que je vienne raconter les choses à moitié. C’est bon de partager les moments difficiles aussi! Je t’embrasse fort aussi, au plaisir de te revoir!!
J ai été très touchée par ton témoignage et ta grande honnêteté … Un grand merci . Selon moi , tu nous invites à plus de douceur et moins de radicalisme et de perfection . Bouddha nous invite à la voie du milieu . Chaque fois que je radicalise ma pratique et ma manière de penser, je m éloigne de la douceur de mon âme qui me chuchote toujours les mêmes mots …et je me coupe de l Essentiel .
Tendresse
Pour la gestion du temps , je choisis ce qui est important et je lâche sur l accessoire
Merci à toi Sylvie pur ton message, tu vois, mes aventures de ci de là m’amènent véritablement à ressentir ce que tu dis dans ces quelques lignes et que je t’ai déjà entendu dire. Je crois que c’est là le grand enseignement de des 4 premiers mois de 2014 pour moi: douceur et équilibre. Des années que je flirte avec cela sans vouloir faire pleinement connaissance. Il est temps. Je t’embrasse fort, on se voit bientôt sous un figuier?? Bises à tous les 2
PS : A quand un stage “gestion du temps”???